4 - La sur-présence des activités et énergies
Evolution de l’urbanisation, entrée Est de Fort-de-France, entre 1951 et 2004

En 1951, l’urbanisation s’arrête au quartier Sainte-Thérèse, sans aller au-delà de la rivière Monsieur.
Activités :
Energie :
Consommation d’énergie :Consommation énergétique finale de la Martinique :
en 1985 : 287 KTEP (milliers de tonnes d’équivalent pétrole)en 2005 : 489 KTEPsoit une multiplication par 1,7 en 20 ans
Consommation des produits pétroliers routiers : X 1,5 en 20 ans, représente 60% de la consommation totale énergétique.
Production d’énergie : :
Energie renouvelable :
UIOM Usine d’incinération des ordures ménagères depuis 2002.
Puissance électrique produite : 4 MW
Solaire photovoltaïque :
Eolien :
Hydraulique :
4.1. Une dévalorisation par des zones d’activités agressives et consommatrices d’espace
Danielle Laport, sociologue – La Mouïna n°6, CAUE décembre 2009

Une zone d’activités incongrue isolée en bord de route en secteur naturel de qualité (baie du Galion). ZAC du Bac.

Zone d’activités affichée depuis la route. RN 5 à Ducos.

Bâtiment d’activité isolé incongru dans le paysage de la RN 5, entre Rivière Salée et Ducos.

Problème d’activités collées à l’infrastructure, vue détaillée. ZA la Jambette, au bord de la RN 1.

Problème d’activités collées à la route, ZI La Lézarde, Le Lamentin.

Problème d’activités collées à la route, ZA Petite Cocotte, à Ducos.

Problème de bâtiment commercial s’imposant violemment dans le paysage (collé à la route et en surplomb). RN1, Fort-de-France.

Autre cas de bâtiment commercial s’imposant dans le paysage : collé à la route, terrassements à l’horizontale, talus et sols minéralisés. Le Lorrain.

Problème d’enseignes commerciales découpées dans le ciel, en dehors du volume architectural. A proscrire.

Problème d’architecture et d’enseignes d’activités (Schoelcher).

Un manque de maîtrise en matière d’architecture, d’enseignes et de couleurs. Le François, entrée de ville.
4.2. Un envahissement des réseaux aériens

Une ouverture sur la mer parasitée par les lignes aériennes. Fort-de-France.

Envahissement du ciel par les réseaux aériens. Trinité.

Bien qu’épargnés par les grands flux routiers, les centres bourgs apparaissent peu valorisés. Macouba.

Réseaux aériens envahissants, Ajoupa-Bouillon

Problème de réseaux aériens dans une rue du Vauclin.

Les réseaux aériens, tendus comme une toile d’araignée sur une rue du Lamentin.

Problème de réseau électrique aérien. Centre du François, rue Homère Clément.
4.3. Un développement des énergies renouvelables en cours
C. Plantin, CAUE, La Mouïna n° 6, décembre 2009
1. Requalifier les entrées de villes et zones d’activités
2. Promouvoir un développement énergétique peu consommateur d’espace
(Revert, La Martinique, 1949)